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Dans l’immensité de la galaxie, peu de choses inspirent autant de panique qu’un cri guttural résonnant à travers les vox :
« WAAAGH! »
Quand ce rugissement secoue l’espace, tout le monde sait ce que cela signifie.
Des milliers d’Orks, rassemblés dans une marée verte d’enthousiasme meurtrier, se ruent sur leur prochaine cible.
Pas par stratégie. Pas par vengeance.
Mais simplement parce que c’est drôle.
Les Orks, ce sont les enfants dégénérés de la guerre, les adorateurs de la baston pure et du bruit des explosions.
Ils ne cherchent pas la gloire, ni la conquête : ils cherchent le fun, la bagarre, et l’occasion de prouver que taper plus fort, c’est toujours la meilleure idée.
Les Orks ne sont pas une espèce naturelle au sens humain du terme.
Ils sont le résultat d’une expérience génétique menée il y a des millénaires par les mystérieux Anciens.
À l’origine, ils étaient censés être des soldats parfaits : forts, résistants, capables de survivre à tout.
Et c’est exactement ce qu’ils sont devenus… sauf qu’ils sont aussi complètement cinglés.
Leur biologie est un chef-d’œuvre de brutalité.
Les Orks sont mi-chair, mi-champignon, ce qui leur permet de pousser presque partout.
Ils se multiplient comme des spores, se nourrissent de tout, et guérissent à une vitesse ahurissante.
Un Ork n’a pas besoin de médecine, il suffit qu’il râle un peu, et il se remet à bastonner.
Mais ce qui les rend vraiment uniques, c’est leur champ psychique collectif.
Plus il y a d’Orks dans un endroit, plus la réalité elle-même se plie à leur croyance.
Si des milliers d’Orks pensent qu’une épave de ferraille peut voler… elle vole.
S’ils croient qu’une peinture rouge rend un véhicule plus rapide… il le devient.
Chez les Orks, la foi, c’est littéralement une arme.
Dire que les Orks ont une civilisation serait exagéré.
Mais il existe une forme d’ordre dans leur folie.
Ils vivent en tribus, menées par des chefs plus gros, plus forts, ou simplement plus bruyants que les autres.
Et tout naturellement, celui qui tape le plus fort devient le Boss.
Leur société tourne autour de trois choses simples :
se battre, construire, et gueuler plus fort que le voisin.
Chacun a son rôle :
Les Boyz, la masse verte qui constitue le cœur de toute armée.
Les Nobz, plus gros et plus vicieux, souvent les lieutenants des Boss.
Les Meks, les ingénieurs fous capables de transformer une boîte de conserve en char de combat.
Les Weirdboyz, des psykers instables canalisant le pouvoir de la WAAAGH!.
Et enfin, les Warbosses, des montagnes de muscle et de rage, nées pour mener la charge.
Chaque tribu a son propre style.
Certains préfèrent les armes de tir, d’autres les attaques éclairs, d’autres encore foncent tête baissée dans la mêlée en hurlant.
Mais une chose reste toujours vraie : plus il y a de baston, plus les Orks sont heureux.
Quand plusieurs tribus s’unissent sous un même chef, une force mystique commence à croître : la WAAAGH!.
Ce n’est pas qu’une armée.
C’est une éruption psychique collective, une marée d’énergie qui transforme les Orks en une puissance galactique incontrôlable.
La WAAAGH! attire toujours plus d’Orks, venus de mondes entiers.
Des planètes entières sombrent sous cette marée verte, les cités humaines s’effondrent, les flottes entières se disloquent.
Et quand la poussière retombe, il ne reste souvent qu’un champ de ruines… et quelques Orks qui se battent entre eux parce que, bon, il faut bien continuer à s’amuser.
Jouer Orks à Warhammer 40,000, c’est accepter le chaos dans sa forme la plus joyeuse.
Tu ne contrôles pas ton armée comme un général méthodique — tu la lâches sur la table et tu regardes le carnage.
Les Orks brillent dans la mêlée et la saturation de tir.
Leurs unités de base, les Boyz, sont nombreuses, bon marché et extrêmement dangereuses en groupe.
Une marée de Boyz peut submerger presque n’importe quoi.
Leur tir, souvent imprécis, devient redoutable par le simple volume de dés lancés.
Les Orks ne visent pas.
Ils arrosent.
Et quand on jette cinquante dés, il y en a toujours assez qui touchent.
Les véhicules Orks, eux, sont une célébration du bricolage : des chars antigrav faits de ferraille, des Trukks rafistolés, des Battlewagons armés jusqu’aux dents, ou encore des avions improbables qui ne volent que parce que les Orks le croient.
Les Orks n’ont aucune subtilité.
Leur armure est moyenne, leur discipline inexistante, et leur précision ridicule.
Ils comptent sur le nombre, la chance, et leur incroyable enthousiasme pour compenser.
Mais c’est justement ce qui rend leur jeu si amusant : chaque partie est une surprise.
Les Orks ne sont pas tous pareils.
Ils se regroupent en clans, chacun avec sa propre philosophie et son propre style de guerre :
Goffs : les plus costauds, les plus violents, ils veulent juste se battre au corps à corps.
Evil Sunz : obsédés par la vitesse, leurs véhicules rouges filent à toute allure.
Bad Moons : riches et tape-à-l’œil, ils possèdent les plus grosses armes.
Deathskulls : superstitieux et bricoleurs, ils pillent tout ce qu’ils trouvent.
Snakebites : plus “traditionnels”, ils vénèrent les vieilles coutumes et les squigs.
Blood Axes : des Orks un peu étranges, capables de stratégie et même de retraite (hérésie !).
Choisir un clan, c’est choisir ton style de jeu et ton ambiance d’armée.
Tu veux du fun, de la vitesse, ou du carnage pur ? Il y a un clan pour toi.
Joue la masse. Plus tu as de figurines, mieux c’est. Un seul Boyz est faible, cent Boyz sont une tempête.
Sois agressif. Les Orks n’aiment pas attendre. Avance, crie, et charge dès que possible.
Utilise la vitesse. Les Trukks, Buggies et Deffkoptas peuvent saturer la table et désorienter ton adversaire.
Amuse-toi. Rien n’est plus Ork que de rire pendant que ton canon explose dans tes propres lignes.
Ne sous-estime pas le tir. Les gros fling’, les Mek Gunz et les Dakka Jets peuvent faire pleuvoir des seaux de dés.
Les Orks excellent dans le chaos contrôlé : ils se battent n’importe comment, mais tout finit par fonctionner d’une manière ou d’une autre.
Et quand tu réussis à tout coordonner — une charge parfaite, un tir massif, un Mek qui fait tout exploser — c’est un plaisir indescriptible.
Si tu veux te lancer dans la WAAAGH!, la Patrouille Orks (Combat Patrol: Orks) est ton meilleur point de départ.
Elle contient tout ce qu’il faut pour comprendre la faction : des Boyz, un Warboss en armure méga, un Deff Dread, et des Deffkoptas.
C’est une base parfaite pour apprendre à combiner mobilité, tir et corps à corps.
Ensuite, selon ton style :
Tu veux une marée verte ? Ajoute d’autres Boyz et un Painboy pour les soigner à coups de scie.
Tu préfères la vitesse ? Les Speed Freeks et leurs véhicules customisés sont faits pour toi.
Tu veux du tir ? Les Lootas et leurs gros flingues t’offrent une puissance de feu imprévisible mais hilarante.
Tu veux un chef charismatique ? Ghazghkull Thraka est la légende vivante de la WAAAGH!.
Et bien sûr, n’oublie pas le Codex Orks, ton guide ultime pour comprendre les subtilités (ou le joyeux chaos) de cette faction.
Peindre et assembler des Orks, c’est une aventure créative sans limite.
Tu peux coller n’importe quoi ensemble : des plaques de blindage, des moteurs, des squigs, des clous, des chaînes… tout marche.
Les Orks adorent la ferraille, et leur esthétique se nourrit de ton imagination.
Chaque figurine peut devenir unique, chaque véhicule un monstre de métal bricolé à la main.
Et sur la table, une armée Ork peinte, c’est un spectacle : des explosions de couleurs, des armes improbables, et une ambiance de fête foraine apocalyptique.
Les Orks, c’est la joie de la guerre sans filtre.
Pas de stratégie complexe, pas de philosophie tragique, juste le plaisir pur de la baston.
Ils transforment chaque bataille en une histoire à raconter : un char qui explose, un Weirdboy qui se vaporise, un Nob qui frappe trop fort.
Et c’est ça, le charme des Orks.
Ils sont stupides, bruyants, incontrôlables, mais d’une vitalité irrésistible.
Quand tu cries “WAAAGH!” et que ton armée déferle sur la table, tu ressens cette énergie brute, ce rire dément, ce feu qui fait de Warhammer un jeu vivant.
Si tu veux une armée fun, imprévisible, et qui te fasse sourire à chaque partie, les Orks t’attendent.
Alors prends ton fling’, ton squig, et monte dans ton Trukk.
La galaxie t’appelle, et elle a besoin d’un peu plus de DAKKA !