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Au cœur des Royaumes Mortels, rares sont les armées aussi envoûtantes et terrifiantes que les Daughters of Khaine. Plus qu’un simple rassemblement de guerrières, elles forment un culte mystique dédié à une divinité du meurtre, de la guerre et du sang. Elles incarnent à la fois la grâce aelvique et la sauvagerie rituelle, dans un ballet meurtrier orchestré par leur déesse autoproclamée, Morathi-Khaine.
Les Daughters of Khaine ne protègent ni royaume, ni peuple. Elles ne cherchent ni richesses, ni alliances. Leur raison d’être est le sacrifice, la purification par la lame, et la glorification d’un dieu oublié : Khaine, le maître du meurtre. Ce culte sanglant, profondément ancré dans les traditions elfiques dévoyées, est un instrument de domination mystique.
Mais derrière cette façade religieuse se cache une vérité plus dérangeante. Le culte a été façonné par Morathi, ancienne sorcière elfe devenue déesse par la ruse et la manipulation. Elle utilise le nom de Khaine comme une masque divin, siphonnant le pouvoir de ses fidèles pour renforcer sa propre ascension.
Les racines du culte plongent dans les âges anciens du Monde-qui-Fut, où Morathi était déjà une figure controversée. À la chute de ce monde, elle trouva refuge dans Ulgu, royaume des ombres, et y fonda Hagg Nar, cœur noir du culte.
Dans cette cité-temple, elle assembla une nouvelle foi, mélange de mythologie aelvique, de mensonges pieux et de rites sanglants. Les Daughters of Khaine devinrent les instruments de sa vengeance et de sa déification. Leur structure reflète cette dualité : une foi absolue dans une divinité qui n’est peut-être qu’un masque, et une hiérarchie dominée par une manipulatrice immortelle.
L’esthétique des Daughters of Khaine est immédiatement reconnaissable : corps graciles, tatouages de guerre, armures ajourées et armes sacrificielles forment une image de beauté mortelle.
Certaines unités évoquent des prêtresses danseuses couvertes de sang, d’autres des serpents mythologiques à la force brute. Cette tension entre discipline martiale et frénésie rituelle est au cœur de l’identité visuelle de l’armée.
Les éléments emblématiques incluent :
Chaudrons bouillonnants et statues animées par la haine divine.
Masques d’argent dissimulant les traits pour ne laisser transparaître que la dévotion.
Serpentes Melusai, incarnation de la transformation divine.
Autels ambulants, sanctuaires de sang portés au cœur de la bataille.
Chaque figurine évoque un rituel en cours, une cérémonie guerrière où chaque goutte de sang versée renforce le culte.
Sur le champ de bataille, les Daughters of Khaine brillent par leur vitesse, leur volume d’attaques et leur résilience surnaturelle. Leur style de jeu repose sur une prise d’initiative constante et une optimisation chirurgicale des buffs.
1. Fanatisme sacré : la sauvegarde invulnérable à 5+
Toutes les unités du culte bénéficient d’une invulnérable à 5+, reflet de leur foi inébranlable. Avec certains buffs, ce bonus grimpe à 4+, rendant des unités à demi-nues aussi dures que des monstres cuirassés.
2. Domination dès la phase héroïque
Le cœur stratégique du culte se joue dès les premières secondes du tour. Grâce aux prières, aptitudes de commandement et rituels, les Daughters of Khaine imposent leur rythme.
3. Mobilité extrême
La majorité des unités se déplacent rapidement, avec une capacité à contourner, charger, frapper, puis se désengager. Cette vélocité rend l’armée aussi insaisissable que létale.
4. Blood Rites : la fureur progressive
Chaque tour renforce le culte grâce au tableau des Blood Rites, octroyant des bonus progressifs : relances, charges automatiques, blessures mortelles, etc. Plus la bataille dure, plus les Daughters deviennent divines.
Chaque guerrière a sa place dans le culte, et certaines unités brillent particulièrement :
Witch Aelves : le noyau de l’armée. Peu chères, nombreuses, rapides et redoutables en mêlée.
Sisters of Slaughter : plus techniques, elles peuvent se désengager après avoir frappé.
Blood Stalkers : archères létales. L’une des rares options à distance, redoutée pour sa précision.
Blood Sisters : élites serpentes capables d’infliger des blessures mortelles au contact.
Melusai Ironscale : héroïne agile et pilier des listes centrées sur les Melusai.
Hag Queen : génératrice de buffs via ses prières. Incontournable dans toute liste compétitive.
Slaughter Queen : version plus puissante, apte à mener les rituels et porter un chaudron.
Avatar of Khaine : statue animée de haine divine, de plus en plus autonome au fil du combat.
Blood Cauldron : chaudron boosteur au centre de l’armée, améliore tout autour de lui.
Morathi-Khaine : la déesse elle-même, divisée en deux formes. Difficile à gérer, mais centrale dans les parties de haut niveau.
Les Daughters of Khaine sont divisées en temples, chacun proposant un gameplay unique :
Hagg Nar : invulnérables améliorées. Idéal pour les joueurs débutants ou ceux qui veulent plus de résilience.
Draichi Ganeth : booste les attaques en charge. Excellent pour les listes agressives avec Witch Aelves.
Khailebron : permet la téléportation. Parfait pour les stratégies de mobilité extrême.
The Kraith : offre une chance de frapper à nouveau. Pour ceux qui aiment jouer l’aléatoire et la folie rituelle.
Zainthar Kai : renforce les unités Melusai. Indispensable pour les armées centrées sur les serpentes.
Ces sous-factions permettent de personnaliser l’armée selon ton style de jeu : frappe rapide, contrôle du terrain, ou saturation létale.
La 4e édition d’Age of Sigmar a renforcé les Daughters of Khaine sur plusieurs plans :
Révision des prières : plus stratégiques, rendant le choix entre Slaughter Queen et Hag Queen encore plus crucial.
Morathi ajustée : son coût reflète désormais sa puissance. Elle devient le centre tactique d’une liste compétitive.
Blood Rites accélérés : certains bonus peuvent être activés plus tôt, donnant un avantage immédiat.
Amélioration des chaudrons et avatars : capables de tenir seuls des objectifs, ils deviennent des piliers défensifs.
L’armée reste fidèle à son style – rapide, brutale, exigeante – tout en gagnant en résilience et en polyvalence tactique.
Les Daughters of Khaine ne sont pas une armée pour les timides. Elles séduisent ceux qui aiment :
Prendre l’initiative à chaque tour.
Multiplier les attaques rapides et coordonnées.
Jouer sur les buffs, les phases héroïques et les timings.
Prendre des risques pour des gains dévastateurs.
Mais attention : le culte punit les erreurs. Une charge ratée, un positionnement maladroit, et tout peut basculer.
Les Daughters of Khaine sont l’une des armées les plus emblématiques d’Age of Sigmar. Elles ne s’appuient ni sur la magie divine, ni sur la technologie. Leur force réside dans leur discipline, leur fanatisme, et leur soif de sang.
Si tu cherches une armée aussi rapide que mortelle, aussi élégante que stratégique, alors prépare-toi à rejoindre le temple. Mais sache-le : dans le culte de Khaine, la foi se mesure en lames dégainées et en litres de sang versés.