Description
Découvrez la Drukhari : Combat Patrol
Les Drukhari – Les Seigneurs de la Douleur dans Warhammer 40,000
Dans les ténèbres de la galaxie, bien au-delà des champs de bataille illuminés par les armes de l’Imperium, se cache une civilisation ancienne, cruelle et perverse : les Drukhari. Jadis connus sous le nom d’Eldars Noirs, ces êtres issus de l’antique empire aeldari incarnent la dégénérescence ultime d’un peuple autrefois glorieux. Aujourd’hui, ils prospèrent dans les profondeurs du Webway, menant des raids fulgurants sur les mondes de la galaxie pour capturer esclaves, butin et âmes. Véritables prédateurs du 41e millénaire, les Drukhari vivent pour la souffrance, la domination et l’extase de la cruauté.
Une civilisation au bord de l’oubli
Pour comprendre les Drukhari, il faut revenir à l’époque de la chute de l’empire Aeldari. Leur civilisation, autrefois la plus avancée de la galaxie, sombra dans la décadence et la dépravation. Leur soif de plaisir et d’excès engendra la naissance de Slaanesh, le dieu du Chaos de l’excès et de la luxure, dont la venue dévora des milliards d’âmes aeldari.
Cependant, certains survivants échappèrent à cette destruction. Tandis que les Asuryani se réfugiaient à bord d’immenses vaisseaux-mondes et que les Harlequins se consacraient à Cegorach, d’autres Aeldari fuirent dans le réseau labyrinthique du Webway. Ces fugitifs fondèrent Commorragh, la Cité Crépusculaire, un empire d’ombres et de souffrance où naquirent les Drukhari.
Pourtant, ce refuge avait un prix. Coupés des dieux protecteurs et hantés par la faim insatiable de Slaanesh, les Drukhari découvrirent qu’ils devaient consumer la douleur des autres pour survivre. Ainsi débuta une ère de piraterie et de terreur, où chaque raid, chaque capture et chaque cri de douleur servait à nourrir leur essence vitale.
Commorragh : le cœur des ténèbres
Commorragh n’est pas une simple cité : c’est un empire infini, une métropole démente étendue à travers d’innombrables dimensions du Webway. Ses tours d’obsidienne s’élèvent à des hauteurs vertigineuses, tandis que ses bas-fonds grouillent de criminels, d’esclaves et de bêtes infernales. Tout y est corruption, complot et trahison.
Chaque Kabal, Culte de Sorcières ou Coterie des Hémoncules y possède son territoire, jalousement défendu. Les alliances y sont fragiles et les trahisons fréquentes. Les seigneurs Drukhari se livrent une guerre d’influence permanente, car la gloire, la domination et la survie se gagnent dans le sang et la souffrance.
Dans cet enfer scintillant, les spectacles de torture sont monnaie courante. Des arènes s’élèvent où les Wyches exécutent des ballets sanglants sous les acclamations de milliers de spectateurs, tandis que les Hémoncules, véritables artistes de la chair, façonnent des monstres de cauchemar pour satisfaire la soif de nouveauté morbide de leurs pairs.
Les Kabales : la puissance des élites
Les Kabales forment l’épine dorsale du pouvoir Drukhari. Véritables maisons nobles de Commorragh, elles rassemblent guerriers, pirates et seigneurs avides de pouvoir. À leur tête, des Archontes gouvernent d’une main de fer, redoutables stratèges aussi calculateurs qu’impitoyables.
Leurs armées sont composées de Guerriers Kabalites, de Raider et de Venoms filant à travers le champ de bataille comme des éclairs d’ombre. Leur technologie, basée sur des armes énergétiques et empoisonnées, fait d’eux des prédateurs redoutables capables de frapper, de tuer et de disparaître avant que l’ennemi ne réagisse.
Chaque Kabale a sa spécialité et son style : la Kabale du Cœur Noir, menée par Asdrubael Vect, règne sur Commorragh avec une autorité absolue. Le Cœur Noir incarne la ruse et la manipulation politique à son paroxysme. D’autres, comme la Kabale de la Lame Obsidienne ou la Kabale du Poison Silencieux, préfèrent l’assassinat subtil ou les raids éclairs dévastateurs.
Les Cultes de Sorcières : le sang et le spectacle
Si les Kabales incarnent la puissance militaire, les Cultes de Sorcières représentent l’art de la guerre comme un divertissement. Dirigées par des Succubes aussi gracieuses que meurtrières, ces guerrières livrent des combats d’arène d’une beauté macabre.
Les Wyches, agiles et rapides, transforment chaque affrontement en danse mortelle. Elles manient des armes exotiques, se nourrissent de l’adrénaline du combat et captent l’énergie vitale de leurs ennemis. Ces spectacles servent non seulement à divertir les masses de Commorragh, mais aussi à régénérer l’essence vitale des Drukhari en capturant la douleur des vaincus.
Des cultes célèbres comme celui du Couteau Rouge ou du Baiser de Sang sont réputés pour leurs performances d’une cruauté inégalée. En dehors de l’arène, ces combattantes servent souvent d’élite lors des raids planétaires, semant la terreur par leur rapidité et leur fanatisme.
Les Coteries des Hémoncules : la science de la souffrance
Aucun aspect des Drukhari n’est plus terrifiant que les Hémoncules. Ces anciens maîtres de la chair, mi-scientifiques mi-nécromanciens, ont transcendé la mort. Dans leurs laboratoires obscurs, ils expérimentent sur les corps et les âmes, créant des abominations aussi effroyables qu’efficaces.
Ils commandent des armées de Grotesques, de Wracks et d’autres horreurs charnelles, fusionnant chair et technologie. Leur savoir est si vaste qu’ils peuvent ressusciter un Drukhari tombé au combat, pourvu que son corps soit récupéré à temps.
Les Coteries des Hémoncules forment donc une part essentielle de la société Drukhari : sans eux, la longévité et la renaissance des leurs seraient impossibles. Pourtant, leur loyauté est aussi tordue que leurs créations. Chaque Hémoncule a ses propres ambitions, souvent dissimulées derrière un sourire macabre et des serres dégoulinantes.
Une armée de terreur et de vitesse
Sur le champ de bataille de Warhammer 40,000, les Drukhari incarnent la quintessence de la vitesse et de la cruauté. Leurs véhicules effilés fendent l’air à une allure vertigineuse, leurs armes empoisonnées traversent les armures les plus épaisses, et leurs tactiques reposent sur l’assaut éclair.
Les Raids Drukhari ne laissent aucune chance à l’ennemi : en un instant, les cieux s’emplissent d’éclairs sombres, des escouades surgissent, frappent, enlèvent leurs victimes, puis disparaissent dans le Webway. Leur mobilité et leur puissance psychologique en font des adversaires redoutés, même par les Space Marines les plus aguerris.
Leur armée offre une grande variété d’unités :
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Les Guerriers Kabalites et les Wyches, troupes de base rapides et meurtrières.
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Les Reavers et Hellions, chevauchant des motos ou des planches antigrav.
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Les Talos et Cronos, monstres biomécaniques créés par les Hémoncules.
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Et enfin, les puissants Archontes et Succubes, véritables chefs d’orchestre du carnage.
Entre extase et damnation
Ce qui distingue véritablement les Drukhari, c’est leur motivation. Là où d’autres factions combattent pour la foi, la survie ou la conquête, eux se battent pour ressentir. Chaque acte de violence, chaque cri de douleur est une offrande qui prolonge leur existence face à la faim de Slaanesh.
Cependant, cette survie est un fardeau. Les Drukhari savent qu’ils sont condamnés à une lente agonie s’ils cessent de se nourrir de la souffrance des autres. Leur empire repose donc sur un cycle infernal d’atrocités, sans issue ni rédemption. Pourtant, dans ce désespoir, ils trouvent une beauté perverse, une forme d’art macabre où la guerre devient un théâtre et la douleur une muse.
Conclusion : Les maîtres du chaos silencieux
Les Drukhari incarnent la face la plus sombre de la perfection aeldari. Maîtres de la guerre rapide, de la souffrance raffinée et de la manipulation, ils représentent une menace constante pour la galaxie. Leur armée allie vitesse, ruse et brutalité, offrant aux joueurs de Warhammer 40,000 une expérience tactique aussi exigeante que gratifiante.
Ainsi, derrière chaque ombre du Webway, se cache peut-être un Raider prêt à fondre sur sa proie. Et lorsque les cris d’agonie résonneront dans le vide, les Drukhari s’en nourriront, ricanant dans les ténèbres, car pour eux, la douleur est la seule forme de vie véritable.
Les Coteries de l’Affliction – L’Horreur Chirurgicale des Drukhari
Dans les profondeurs les plus sombres de Commorragh, là où même les âmes damnées craignent de s’aventurer, résident les Coteries d’Hémoncules. Ces maîtres de la chair, véritables démiurges de la douleur, façonnent la vie et la mort comme de simples matières premières. Dans leurs laboratoires dégoulinants d’ichor, les hurlements des victimes se mêlent au grincement des scalpels. Les Hémoncules ne se contentent pas de torturer : ils créent, transforment et réinventent la souffrance.
À leurs côtés, se tiennent leurs créations : des Gorgones mutilées et transcendées, des Talos massifs, véritables autels de chair et d’acier, et des Cronos flottants, dispensateurs d’agonie spirituelle. Ensemble, ils forment une armée aussi grotesque que fascinante, où chaque bataille devient une expérience, chaque cri un échantillon de recherche.
Une force issue des cauchemars
Les Coteries d’Hémoncules constituent un pan entier de la société Drukhari, un monde parallèle de savants fous et de chirurgiens déments. Leurs armées ne sont pas seulement des outils de guerre : elles sont le prolongement de leurs expérimentations, une vitrine de leurs talents morbides.
Ainsi, sous la direction d’un Hémoncule, ces cohortes avancent lentement mais sûrement, broyant et brûlant tout sur leur passage. Les Gorgones, jadis mortelles et maintenant transformées par des cocktails d’élixirs et d’implants, se battent dans un état d’euphorie meurtrière, déformées par le plaisir qu’elles tirent de la douleur.
Pendant ce temps, les Talos et Cronos planent dans les airs, machines vivantes d’une cruauté indicible, projetant flammes, toxines et rayons psychiques. Dans cette armée, tout hurle, saigne et déchire — non pas pour vaincre, mais pour éprouver la douleur sous toutes ses formes, une quête perverse d’extase macabre.
Une boîte complète pour vos raids les plus macabres
En premier lieu, cette boîte dédiée aux Drukhari est une occasion idéale de commencer une collection ou d’étendre une armée existante. Elle capture toute l’essence des Coteries : une alliance de monstruosités chirurgicales et de sadisme raffiné.
De plus, elle a été pensée pour incarner une Patrouille complète, une force compacte mais redoutable qui vous permet de plonger directement dans les batailles de Warhammer 40,000, tout en offrant un excellent rapport contenu/prix.
À l’intérieur, vous trouverez 13 figurines en plastique, symboles d’un savoir-faire tordu :
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1 Hémoncule, le maître d’œuvre et cerveau sadique de la Coterie ;
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1 Cronos, entité flottante assoiffée d’énergie vitale (pouvant être assemblé en Talos) ;
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1 Talos, colosse biomécanique dédié à la mutilation rituelle (pouvant être assemblé en Cronos) ;
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10 Gorgones, guerrières altérées jusqu’à la démence.
Ainsi, chaque figurine incarne à sa manière la perversion artistique et l’ingéniosité sinistre des Drukhari.
Une personnalisation aussi morbide que fascinante
En outre, le kit a été conçu pour offrir une liberté de personnalisation totale, à l’image du travail de ces artistes de la souffrance.
Le Cronos, entité mi-démon mi-machine, propose deux têtes différentes et peut être équipé d’un vortex mental optionnel, une arme aussi ésotérique qu’effrayante.
Quant au Talos, véritable titan de chair et d’acier, il offre une multitude d’options d’équipement : quatre têtes distinctes, un module venimeux, un fusil disrupteur jumelé, une lance de feu jumelée ou encore un canon éclateur jumelé.
Pour ses bras meurtriers, les possibilités ne manquent pas : macro-scalpel, fléaux, liquefactor jumelé, gantelet de Talos ou injecteur d’ichor. Par conséquent, chaque configuration permet de créer une abomination unique, reflet de votre propre interprétation de la monstruosité Drukhari.
Les Gorgones, quant à elles, incarnent la terreur viscérale. Chacune peut être équipée d’un éventail d’armes et d’instruments médicaux transformés en outils de mort : liquefactors, ossefactors, fusils vitrificateurs, pistolets hypodermiques, ainsi que masques et paquetages dorsaux.
De plus, l’unité peut être menée par un Acothyste, dont les armes, aussi élégantes que terribles, vont du neurocide à la lame énergétique, en passant par le sécateur chirurgical, symbole de son autorité au sein de la Coterie.
L’esthétique de la terreur raffinée
Au-delà de leur efficacité sur la table de jeu, ces figurines représentent l’un des sommets du design Drukhari.
Chaque modèle est une œuvre d’art tordue, un mélange savant de grâce elfique et de dégénérescence biomécanique. Ainsi, les tubulures organiques, les membres augmentés et les détails baroques racontent à eux seuls l’histoire d’un empire en déliquescence, obsédé par sa propre survie et le contrôle absolu de la chair.
Les Talos et Cronos, montés sur grands socles volants Citadel, ajoutent une présence imposante à toute armée Drukhari, contrastant parfaitement avec les silhouettes plus élancées et reptiliennes des Gorgones.
Par ailleurs, le kit comprend 361 éléments en plastique, ainsi que 11 socles ronds de 25 mm, 2 grands socles volants et 2 tiges à rotule. Ces figurines, non peintes et à assembler, offrent un véritable plaisir aux modélistes passionnés. En utilisant la Colle Plastique Citadel et la peinture Citadel Colour, vous donnerez vie à vos propres cauchemars dans les teintes les plus sombres de Commorragh.
Une patrouille implacable et thématique
Sur le champ de bataille, la Coterie de l’Affliction se distingue par un équilibre remarquable entre résistance, puissance et sadisme.
Les Gorgones forment une ligne de front terrifiante, absorbant les coups dans un délire d’extase autodestructrice, tandis que les Talos et Cronos saturent l’air de toxines, de flammes et d’énergie psychique.
Pendant ce temps, l’Hémoncule, en retrait, observe, calcule et ajuste ses plans. Il savoure chaque cri, chaque effondrement de chair et chaque soupir d’agonie, tout en renforçant la résilience de ses créations.
Ainsi, grâce à leur synergie, ces unités forment une force compacte capable de tenir une position stratégique, infliger des pertes dévastatrices et harceler sans relâche un adversaire trop sûr de lui.
De plus, cette composition thématique permet de jouer des parties à la fois immersives et visuellement impressionnantes. Chaque figurine incarne une facette différente de la philosophie Drukhari : la domination, la souffrance et la maîtrise absolue de la chair.
Conclusion : la perfection de la douleur maîtrisée
En définitive, cette Coterie d’Hémoncules Drukhari n’est pas simplement une force de guerre — c’est une vision du cauchemar incarnée. Chaque figurine reflète la philosophie tordue de ces sculpteurs de chair, où l’art, la science et la cruauté se mêlent dans une harmonie terrifiante.
Pour le collectionneur, c’est un ensemble fascinant à peindre et à contempler ; pour le joueur, une force redoutable, alliant flexibilité, puissance et esthétique unique.
Les Drukhari ne se battent pas pour conquérir ni pour survivre, mais pour ressentir, expérimenter et dominer. Sous la main d’un Hémoncule, chaque bataille devient alors une œuvre d’art morbide, un opéra de hurlements et de sang où la douleur est la seule vérité.
Ainsi, que vous soyez amateur de modélisme ou stratège des ténèbres, cette boîte incarne parfaitement l’essence des Drukhari : un peuple pour qui la guerre n’est pas une nécessité, mais une passion — et la souffrance, une forme d’art éternelle.