Emperor Children’s Blissbound Warband

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Les Emperor’s Children dans Warhammer 40,000 : l’harmonie du chaos et de la perfection

Parmi toutes les légions renégates de Warhammer 40,000, les Emperor’s Children occupent une place singulière. Autrefois champions de la pureté et du raffinement, ils sont aujourd’hui les enfants dégénérés du Prince du Chaos Slaanesh, dieux de l’excès et du plaisir. Leur histoire illustre à merveille la chute de l’idéal vers la corruption, de la beauté vers la décadence. Pourtant, malgré cette transformation, leur identité demeure unique : celle de guerriers obsédés par la perfection absolue, qu’elle soit artistique, physique ou martiale.

L’héritage de Fulgrim : le primarque de la perfection

Tout commence avec Fulgrim, l’un des vingt Primarques créés par l’Empereur de l’Humanité. Brillant, charismatique et d’une beauté inégalée, Fulgrim incarnait la quête d’excellence sous toutes ses formes. Il cherchait à faire de sa légion un modèle de discipline, d’esthétique et de maîtrise. Sous son commandement, les Emperor’s Children devinrent la seule légion autorisée à porter le symbole impérial de l’aigle bicéphale, signe de la confiance absolue de l’Empereur.

Mais cette gloire contenait déjà les germes de leur chute. Fulgrim, fasciné par la perfection, commença à voir dans les limites humaines une entrave insupportable. Son obsession le mena à expérimenter des formes de beauté de plus en plus extrêmes. Peu à peu, la frontière entre la quête d’harmonie et la tentation du chaos se brouilla. Lorsque Slaanesh, le Prince du Plaisir, murmura à son oreille, Fulgrim y trouva enfin l’absolu qu’il recherchait.

La chute dans l’excès et la naissance d’une légion dévoyée

Au fil des campagnes, les Emperor’s Children sombrèrent dans une folie raffinée. Leur armure autrefois d’un violet noble se couvrit d’or et de symboles chaotiques. Leurs chants de guerre devinrent des symphonies d’agonie. Ils apprirent à tuer non pour la victoire, mais pour la sensation que procure la mort d’un ennemi.
Leur discipline fit place à une obsession du spectacle. Chaque bataille devint une performance artistique où la douleur, la peur et le son se mêlaient dans un ballet sanglant.

Les plus dévoués à Slaanesh subirent des mutations terrifiantes : leurs sens furent décuplés, leurs cris devinrent des armes, leurs armes des instruments de musique. C’est ainsi que naquirent les terrifiants Noise Marines, symboles parfaits de la légion. Chaque tir de leur sonique blaster résonne comme un accord divin de destruction. Ces guerriers incarnent à la fois l’horreur et la beauté du Chaos : une harmonie tordue où le son et la douleur fusionnent.

L’esthétique du chaos : entre art et carnage

Ce qui rend les Emperor’s Children fascinants, c’est leur esthétique singulière. Contrairement à d’autres légions chaotiques dominées par la rage brute ou la corruption démoniaque, eux cultivent un culte du détail, du style et de la mise en scène. Leurs armures sont finement ouvragées, décorées de dorures et de motifs baroques.
Sur le champ de bataille, ils avancent comme des danseurs, chaque mouvement mesuré, chaque coup porté avec grâce. Leurs armes, souvent modifiées pour produire des sons envoûtants, transforment le combat en une œuvre d’art morbide.

Mais cette beauté cache une corruption totale. Leurs sens exacerbés les condamnent à rechercher des expériences toujours plus intenses : sons plus puissants, douleurs plus profondes, victoires plus cruelles. C’est cette spirale sans fin vers l’excès qui les rend si dangereux — et si tragiques.

Les Emperor’s Children sur le champ de bataille : élégance et cruauté

Dans le jeu Warhammer 40,000, les Emperor’s Children se distinguent par une combinaison unique de vitesse, précision et brutalité sensorielle.
Leur style de combat repose sur le contrôle du tempo. Ils frappent vite, fort, et avec une précision presque chorégraphiée. Chaque unité est pensée pour maximiser l’impact à un moment précis de la bataille, puis se retirer avant la riposte.

Leur règle emblématique — la symphonie du carnage — illustre cette philosophie. Lorsqu’ils combattent, chaque mise à mort semble renforcer la cohésion du groupe, comme si le massacre suivait une partition invisible.
Leurs unités comme les Noise Marines, les Possessed, ou encore les Terminators décorés d’icônes de Slaanesh, incarnent cette harmonie entre puissance brute et raffinement meurtrier.
Les personnages emblématiques, à l’image de Lucius l’Éternel, portent ce culte de la perfection à son paroxysme. Lucius, champion tragique, est condamné à revivre éternellement, renaissant dans le corps de quiconque le tue, symbole d’une perfection impossible à éteindre.

Une expérience de jeu sensorielle et tactique

Sur la table, jouer les Emperor’s Children, c’est accepter une approche à la fois agressive et méthodique.
Leur force réside dans les attaques rapides, les charges coordonnées et la domination psychologique de l’adversaire.
Leur arsenal unique — armes soniques, lames démoniaques, grenades de résonance — transforme chaque affrontement en une expérience sonore et visuelle.
Les Noise Marines peuvent à la fois balayer l’infanterie légère à distance et anéantir les lignes ennemies à bout portant grâce à leur puissance sonore.
Leur commandement repose souvent sur des personnages comme le Noise Lord, capable d’amplifier la fureur de ses troupes ou de distordre la réalité autour de lui.

Mais il serait réducteur de limiter cette faction à sa seule violence. Les Emperor’s Children récompensent la planification, le timing et le sens du spectacle. Chaque victoire doit être belle, chaque défaite, dramatique. Le joueur qui incarne cette légion ne cherche pas seulement à gagner : il veut que la bataille soit mémorable, presque théâtrale.

Fulgrim Transfiguré : le retour d’un dieu vivant

L’annonce du retour de Fulgrim sous sa forme démoniaque a redonné un souffle nouveau à cette faction. Devenu un Prince Démon de Slaanesh, il incarne désormais l’apothéose de la beauté corrompue.
Sa présence transforme le champ de bataille en un théâtre de cauchemars où les sens humains ne peuvent plus distinguer la douleur du plaisir.
Son charisme, sa puissance et son aura font de lui l’un des personnages les plus attendus du 41e millénaire.
Avec ce retour, Games Workshop semble prêt à offrir aux Emperor’s Children une nouvelle ère de gloire — et de démesure.

Pourquoi choisir les Emperor’s Children ?

Choisir cette faction, c’est embrasser la dualité de Warhammer 40,000 : la beauté et l’horreur, la perfection et la folie, l’art et la guerre.
Les Emperor’s Children ne sont pas de simples soldats du Chaos. Ils sont des artistes du massacre, des esthètes du carnage.
Chaque bataille devient une performance, chaque victoire, un chef-d’œuvre.

Pour les peintres, c’est aussi une faction fascinante à travailler. Les contrastes entre violet profond, or étincelant et détails baroques offrent des possibilités infinies de personnalisation.
Et pour les stratèges, leur gameplay nerveux, précis et audacieux procure des sensations de jeu intenses.

Conclusion : la perfection, à n’importe quel prix

Les Emperor’s Children sont une légion tragique et magnifique. Ils rappellent que, dans l’univers impitoyable de Warhammer 40,000, la quête de perfection conduit souvent à la damnation.
Sous la bannière de Slaanesh, ils continuent de chanter leur symphonie de destruction, faisant du carnage une œuvre d’art et de la douleur une mélodie.
Pour les joueurs comme pour les amateurs de lore, cette faction incarne une dimension unique du Chaos : celle où la folie devient beauté, et où la guerre se transforme en opéra.

Les Emperor’s Children – La séduction toxique de la perfection dévoyée

Il existe des factions qui attirent doucement l’œil, presque timidement, mais les Emperor’s Children, eux, vous happent immédiatement. Dès que l’on s’intéresse à Warhammer 40,000, on se rend rapidement compte qu’ils ne ressemblent à rien d’autre. Leur esthétique mêle une beauté troublante à une corruption raffinée et, très vite, on découvre que cette tension permanente entre grâce et horreur crée un véritable vertige narratif. Autrement dit, ils incarnent ce charme dangereux qui fascine autant qu’il dérange.

Une chute lente vers l’excès absolu

Au premier regard, on pourrait croire que leur élégance témoigne d’une discipline presque noble. Pourtant, lorsqu’on creuse leur histoire, on réalise qu’ils ont sombré dans l’excès avec une intensité que peu d’autres factions peuvent égaler. En effet, autrefois défenseurs de l’Imperium, ils ont basculé dans l’adoration de Slaanesh, le dieu du plaisir, de la décadence et des sensations extrêmes. Ainsi, au fil des siècles, ils sont devenus des maîtres de la dépravation guerrière, transformant chaque bataille en un spectacle morbide où le raffinement côtoie l’atrocité.

De plus, leur façon de concevoir la guerre est profondément unique. Là où d’autres légions cherchent la conquête ou la destruction brute, les Emperor’s Children veulent avant tout ressentir. Ils traquent des sensations nouvelles, poursuivent la perfection dans l’excès, et cherchent à transformer chaque affrontement en une expérience sensorielle totale. Progressivement, on comprend que leur âme même a été remodelée par cette quête perverse.

Une boîte qui ouvre une porte directe vers leur univers

Lorsque l’on soulève la boîte, on ressent immédiatement que l’on entre dans un territoire particulier. En effet, cette boîte ne contient pas seulement des figurines : elle offre une vision condensée de ce que représente la faction. De ce fait, même un joueur débutant peut ressentir cette manière si particulière qu’ont les Emperor’s Children de marier beauté et monstruosité.

D’ailleurs, ce sentiment se renforce dès que l’on découvre la présence de Fulgrim, le Primarque Démon lui-même. Peu de factions offrent un centre de gravité narratif aussi puissant dès la première boîte. Fulgrim est précisément ce qu’il doit être : l’incarnation vivante du culte de la perfection. Chaque ligne de son armure, chaque expression proposée parmi les cinq visages disponibles, évoque un mélange de grâce divine et de folie absolue. Et, par extension, il donne immédiatement le ton de toute la collection.

Autour de lui, la boîte inclut des unités clés : les Lames Infaillibles, véritables artistes du duel, et les Marines du Vacarme, qui transforment les champs de bataille en concerts meurtriers. Grâce à leur présence, on comprend rapidement que la faction excelle autant au corps à corps qu’à distance, mais surtout qu’elle privilégie toujours l’impact spectaculaire.

Une personnalisation très riche pour façonner sa propre vision de la dépravation

Par ailleurs, l’un des grands plaisirs que l’on ressent en assemblant cette boîte provient de son immense liberté de personnalisation. Par exemple, les Lames Infaillibles peuvent être montées avec des épées longues ou deux armes plus légères, et chacune possède plusieurs têtes et options d’épaulières. On peut même choisir d’ajouter l’icône des Emperor’s Children ou de la laisser discretement vierge, ce qui permet de créer des esthétiques plus sobres ou, au contraire, plus flamboyantes.

De la même façon, les Marines du Vacarme regorgent d’alternatives : têtes casquées ou non, épaulières standards ou marquées, destructeurs soniques, ou encore la possibilité de monter un Discordant qui deviendra immédiatement une pièce centrale visuelle dans l’unité. Grâce à cela, chaque guerrier semble raconter sa propre dérive dans la folie sensorielle, et chacune de vos escouades peut exprimer un style qui lui est propre.

Une identité visuelle magnifiée par une planche de décalcos exceptionnelle

De plus, la planche de 150 décalcos confirme que l’attention portée au détail est au cœur de cette faction. Ces symboles finement travaillés — runes de Slaanesh, iconographie perverse, marqueurs rituels — permettent d’ajouter cette signature visuelle qui manque souvent aux armées montées rapidement. En définitive, ces décalcos transforment les figurines en œuvres d’art morbides, et il devient difficile de ne pas ressentir une pointe de fierté en voyant ces motifs orner le violet profond et l’or scintillant de l’armée.

Une boîte dense, généreuse et parfaitement adaptée aux passionnés

Avec 226 éléments en plastique, un socle de 130 mm pour Fulgrim, et douze socles de 40 mm pour ses fidèles suivants, cette boîte offre non seulement un excellent rapport qualité-quantité, mais aussi l’assurance de nombreuses heures d’assemblage et de peinture. Ainsi, même les hobbyistes les plus expérimentés trouvent dans ce kit un terrain de jeu créatif stimulant.

Et finalement, une édition limitée qui renforce l’attrait irrésistible de la légion

Pour conclure, il est essentiel de souligner que cette boîte est disponible dans la limite des stocks. Cela ajoute une tension délicieuse, car les Emperor’s Children incarnent justement ce désir ardent qui grandit lorsqu’un objet rare vous échappe. Donc, si cette esthétique violette et dorée vous appelle déjà, il serait regrettable de laisser passer votre chance.

Informations complémentaires

Etat

Neuf

Version

Déclinaison

Tranche d'âge

12ans et +

Description

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Les Emperor’s Children dans Warhammer 40,000 : l’harmonie du chaos et de la perfection

Parmi toutes les légions renégates de Warhammer 40,000, les Emperor’s Children occupent une place singulière. Autrefois champions de la pureté et du raffinement, ils sont aujourd’hui les enfants dégénérés du Prince du Chaos Slaanesh, dieux de l’excès et du plaisir. Leur histoire illustre à merveille la chute de l’idéal vers la corruption, de la beauté vers la décadence. Pourtant, malgré cette transformation, leur identité demeure unique : celle de guerriers obsédés par la perfection absolue, qu’elle soit artistique, physique ou martiale.

L’héritage de Fulgrim : le primarque de la perfection

Tout commence avec Fulgrim, l’un des vingt Primarques créés par l’Empereur de l’Humanité. Brillant, charismatique et d’une beauté inégalée, Fulgrim incarnait la quête d’excellence sous toutes ses formes. Il cherchait à faire de sa légion un modèle de discipline, d’esthétique et de maîtrise. Sous son commandement, les Emperor’s Children devinrent la seule légion autorisée à porter le symbole impérial de l’aigle bicéphale, signe de la confiance absolue de l’Empereur.

Mais cette gloire contenait déjà les germes de leur chute. Fulgrim, fasciné par la perfection, commença à voir dans les limites humaines une entrave insupportable. Son obsession le mena à expérimenter des formes de beauté de plus en plus extrêmes. Peu à peu, la frontière entre la quête d’harmonie et la tentation du chaos se brouilla. Lorsque Slaanesh, le Prince du Plaisir, murmura à son oreille, Fulgrim y trouva enfin l’absolu qu’il recherchait.

La chute dans l’excès et la naissance d’une légion dévoyée

Au fil des campagnes, les Emperor’s Children sombrèrent dans une folie raffinée. Leur armure autrefois d’un violet noble se couvrit d’or et de symboles chaotiques. Leurs chants de guerre devinrent des symphonies d’agonie. Ils apprirent à tuer non pour la victoire, mais pour la sensation que procure la mort d’un ennemi.
Leur discipline fit place à une obsession du spectacle. Chaque bataille devint une performance artistique où la douleur, la peur et le son se mêlaient dans un ballet sanglant.

Les plus dévoués à Slaanesh subirent des mutations terrifiantes : leurs sens furent décuplés, leurs cris devinrent des armes, leurs armes des instruments de musique. C’est ainsi que naquirent les terrifiants Noise Marines, symboles parfaits de la légion. Chaque tir de leur sonique blaster résonne comme un accord divin de destruction. Ces guerriers incarnent à la fois l’horreur et la beauté du Chaos : une harmonie tordue où le son et la douleur fusionnent.

L’esthétique du chaos : entre art et carnage

Ce qui rend les Emperor’s Children fascinants, c’est leur esthétique singulière. Contrairement à d’autres légions chaotiques dominées par la rage brute ou la corruption démoniaque, eux cultivent un culte du détail, du style et de la mise en scène. Leurs armures sont finement ouvragées, décorées de dorures et de motifs baroques.
Sur le champ de bataille, ils avancent comme des danseurs, chaque mouvement mesuré, chaque coup porté avec grâce. Leurs armes, souvent modifiées pour produire des sons envoûtants, transforment le combat en une œuvre d’art morbide.

Mais cette beauté cache une corruption totale. Leurs sens exacerbés les condamnent à rechercher des expériences toujours plus intenses : sons plus puissants, douleurs plus profondes, victoires plus cruelles. C’est cette spirale sans fin vers l’excès qui les rend si dangereux — et si tragiques.

Les Emperor’s Children sur le champ de bataille : élégance et cruauté

Dans le jeu Warhammer 40,000, les Emperor’s Children se distinguent par une combinaison unique de vitesse, précision et brutalité sensorielle.
Leur style de combat repose sur le contrôle du tempo. Ils frappent vite, fort, et avec une précision presque chorégraphiée. Chaque unité est pensée pour maximiser l’impact à un moment précis de la bataille, puis se retirer avant la riposte.

Leur règle emblématique — la symphonie du carnage — illustre cette philosophie. Lorsqu’ils combattent, chaque mise à mort semble renforcer la cohésion du groupe, comme si le massacre suivait une partition invisible.
Leurs unités comme les Noise Marines, les Possessed, ou encore les Terminators décorés d’icônes de Slaanesh, incarnent cette harmonie entre puissance brute et raffinement meurtrier.
Les personnages emblématiques, à l’image de Lucius l’Éternel, portent ce culte de la perfection à son paroxysme. Lucius, champion tragique, est condamné à revivre éternellement, renaissant dans le corps de quiconque le tue, symbole d’une perfection impossible à éteindre.

Une expérience de jeu sensorielle et tactique

Sur la table, jouer les Emperor’s Children, c’est accepter une approche à la fois agressive et méthodique.
Leur force réside dans les attaques rapides, les charges coordonnées et la domination psychologique de l’adversaire.
Leur arsenal unique — armes soniques, lames démoniaques, grenades de résonance — transforme chaque affrontement en une expérience sonore et visuelle.
Les Noise Marines peuvent à la fois balayer l’infanterie légère à distance et anéantir les lignes ennemies à bout portant grâce à leur puissance sonore.
Leur commandement repose souvent sur des personnages comme le Noise Lord, capable d’amplifier la fureur de ses troupes ou de distordre la réalité autour de lui.

Mais il serait réducteur de limiter cette faction à sa seule violence. Les Emperor’s Children récompensent la planification, le timing et le sens du spectacle. Chaque victoire doit être belle, chaque défaite, dramatique. Le joueur qui incarne cette légion ne cherche pas seulement à gagner : il veut que la bataille soit mémorable, presque théâtrale.

Fulgrim Transfiguré : le retour d’un dieu vivant

L’annonce du retour de Fulgrim sous sa forme démoniaque a redonné un souffle nouveau à cette faction. Devenu un Prince Démon de Slaanesh, il incarne désormais l’apothéose de la beauté corrompue.
Sa présence transforme le champ de bataille en un théâtre de cauchemars où les sens humains ne peuvent plus distinguer la douleur du plaisir.
Son charisme, sa puissance et son aura font de lui l’un des personnages les plus attendus du 41e millénaire.
Avec ce retour, Games Workshop semble prêt à offrir aux Emperor’s Children une nouvelle ère de gloire — et de démesure.

Pourquoi choisir les Emperor’s Children ?

Choisir cette faction, c’est embrasser la dualité de Warhammer 40,000 : la beauté et l’horreur, la perfection et la folie, l’art et la guerre.
Les Emperor’s Children ne sont pas de simples soldats du Chaos. Ils sont des artistes du massacre, des esthètes du carnage.
Chaque bataille devient une performance, chaque victoire, un chef-d’œuvre.

Pour les peintres, c’est aussi une faction fascinante à travailler. Les contrastes entre violet profond, or étincelant et détails baroques offrent des possibilités infinies de personnalisation.
Et pour les stratèges, leur gameplay nerveux, précis et audacieux procure des sensations de jeu intenses.

Conclusion : la perfection, à n’importe quel prix

Les Emperor’s Children sont une légion tragique et magnifique. Ils rappellent que, dans l’univers impitoyable de Warhammer 40,000, la quête de perfection conduit souvent à la damnation.
Sous la bannière de Slaanesh, ils continuent de chanter leur symphonie de destruction, faisant du carnage une œuvre d’art et de la douleur une mélodie.
Pour les joueurs comme pour les amateurs de lore, cette faction incarne une dimension unique du Chaos : celle où la folie devient beauté, et où la guerre se transforme en opéra.

Les Emperor’s Children – La séduction toxique de la perfection dévoyée

Il existe des factions qui attirent doucement l’œil, presque timidement, mais les Emperor’s Children, eux, vous happent immédiatement. Dès que l’on s’intéresse à Warhammer 40,000, on se rend rapidement compte qu’ils ne ressemblent à rien d’autre. Leur esthétique mêle une beauté troublante à une corruption raffinée et, très vite, on découvre que cette tension permanente entre grâce et horreur crée un véritable vertige narratif. Autrement dit, ils incarnent ce charme dangereux qui fascine autant qu’il dérange.

Une chute lente vers l’excès absolu

Au premier regard, on pourrait croire que leur élégance témoigne d’une discipline presque noble. Pourtant, lorsqu’on creuse leur histoire, on réalise qu’ils ont sombré dans l’excès avec une intensité que peu d’autres factions peuvent égaler. En effet, autrefois défenseurs de l’Imperium, ils ont basculé dans l’adoration de Slaanesh, le dieu du plaisir, de la décadence et des sensations extrêmes. Ainsi, au fil des siècles, ils sont devenus des maîtres de la dépravation guerrière, transformant chaque bataille en un spectacle morbide où le raffinement côtoie l’atrocité.

De plus, leur façon de concevoir la guerre est profondément unique. Là où d’autres légions cherchent la conquête ou la destruction brute, les Emperor’s Children veulent avant tout ressentir. Ils traquent des sensations nouvelles, poursuivent la perfection dans l’excès, et cherchent à transformer chaque affrontement en une expérience sensorielle totale. Progressivement, on comprend que leur âme même a été remodelée par cette quête perverse.

Une boîte qui ouvre une porte directe vers leur univers

Lorsque l’on soulève la boîte, on ressent immédiatement que l’on entre dans un territoire particulier. En effet, cette boîte ne contient pas seulement des figurines : elle offre une vision condensée de ce que représente la faction. De ce fait, même un joueur débutant peut ressentir cette manière si particulière qu’ont les Emperor’s Children de marier beauté et monstruosité.

D’ailleurs, ce sentiment se renforce dès que l’on découvre la présence de Fulgrim, le Primarque Démon lui-même. Peu de factions offrent un centre de gravité narratif aussi puissant dès la première boîte. Fulgrim est précisément ce qu’il doit être : l’incarnation vivante du culte de la perfection. Chaque ligne de son armure, chaque expression proposée parmi les cinq visages disponibles, évoque un mélange de grâce divine et de folie absolue. Et, par extension, il donne immédiatement le ton de toute la collection.

Autour de lui, la boîte inclut des unités clés : les Lames Infaillibles, véritables artistes du duel, et les Marines du Vacarme, qui transforment les champs de bataille en concerts meurtriers. Grâce à leur présence, on comprend rapidement que la faction excelle autant au corps à corps qu’à distance, mais surtout qu’elle privilégie toujours l’impact spectaculaire.

Une personnalisation très riche pour façonner sa propre vision de la dépravation

Par ailleurs, l’un des grands plaisirs que l’on ressent en assemblant cette boîte provient de son immense liberté de personnalisation. Par exemple, les Lames Infaillibles peuvent être montées avec des épées longues ou deux armes plus légères, et chacune possède plusieurs têtes et options d’épaulières. On peut même choisir d’ajouter l’icône des Emperor’s Children ou de la laisser discretement vierge, ce qui permet de créer des esthétiques plus sobres ou, au contraire, plus flamboyantes.

De la même façon, les Marines du Vacarme regorgent d’alternatives : têtes casquées ou non, épaulières standards ou marquées, destructeurs soniques, ou encore la possibilité de monter un Discordant qui deviendra immédiatement une pièce centrale visuelle dans l’unité. Grâce à cela, chaque guerrier semble raconter sa propre dérive dans la folie sensorielle, et chacune de vos escouades peut exprimer un style qui lui est propre.

Une identité visuelle magnifiée par une planche de décalcos exceptionnelle

De plus, la planche de 150 décalcos confirme que l’attention portée au détail est au cœur de cette faction. Ces symboles finement travaillés — runes de Slaanesh, iconographie perverse, marqueurs rituels — permettent d’ajouter cette signature visuelle qui manque souvent aux armées montées rapidement. En définitive, ces décalcos transforment les figurines en œuvres d’art morbides, et il devient difficile de ne pas ressentir une pointe de fierté en voyant ces motifs orner le violet profond et l’or scintillant de l’armée.

Une boîte dense, généreuse et parfaitement adaptée aux passionnés

Avec 226 éléments en plastique, un socle de 130 mm pour Fulgrim, et douze socles de 40 mm pour ses fidèles suivants, cette boîte offre non seulement un excellent rapport qualité-quantité, mais aussi l’assurance de nombreuses heures d’assemblage et de peinture. Ainsi, même les hobbyistes les plus expérimentés trouvent dans ce kit un terrain de jeu créatif stimulant.

Et finalement, une édition limitée qui renforce l’attrait irrésistible de la légion

Pour conclure, il est essentiel de souligner que cette boîte est disponible dans la limite des stocks. Cela ajoute une tension délicieuse, car les Emperor’s Children incarnent justement ce désir ardent qui grandit lorsqu’un objet rare vous échappe. Donc, si cette esthétique violette et dorée vous appelle déjà, il serait regrettable de laisser passer votre chance.

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