Entièrement dévoués à leur empereur, les Grenadiers à cheval de la Garde étaient, avec les lanciers polonais de la Garde impériale, les deux seuls régiments de la Garde de Bonaparte invaincus par la cavalerie ennemie au combat.

Les conditions d’entrée étaient strictes – un candidat retenu doit mesurer au moins 5 pi 8 po, avoir plus de 10 ans de service dans un minimum de quatre campagnes et avoir des citations pour bravoure. Grands, bien construits et beaux, ils étaient la quintessence même de la cavalerie lourde d’élite. Connus pour leur comportement hautain, ils étaient connus sous le nom de « Les Géants » ou « Les Dieux ».

Alors que la bataille de Waterloo touchait à sa fin et que l’armée Français s’effondrait face aux armées combinées de la Prusse et des Alliés britanniques, les grenadiers à cheval se dissipaient comme exempts de panique. Un officier du 12th Light Dragoons britannique explique comment son régiment a avancé sur ces géants sur de gros chevaux noirs – ils « semblaient ne prendre que peu d’attention à notre avance, quand en face de leur flanc ils ont tiré quelques coups de pistolet ou de carabine. Nous étions … étant trop faibles pour faire une impression [sur eux], ils ont littéralement quitté le terrain de la manière la plus majestueuse.

Contient quatre bases de cavalerie en résine Warlord, y compris la sprue de base en plastique et la feuille de drapeau.