L’artillerie à cheval n’était pas seulement l’élite de l’artillerie de la Garde napoléonienne, mais la crème de la crème de l’artillerie européenne à l’époque. L’artillerie à cheval de garde peut rapidement contrer les menaces ennemies, capables de se repositionner au galop au besoin.

Le plus grand historien français sur les guerres napoléoniennes, le commandant Henry Lachouque, écrit dans son livre « Anatomie de la gloire – Napoléon et sa garde »: « Il n’y avait peut-être pas de classe d’hommes sur la surface de la Terre, qui menaient une vie d’effort, d’excitation et de danger plus continus, et qui étaient plus amoureux de leur occupation, que les artilleurs de la Vieille Garde de Napoléon. Inébranlables et résolus, les corps endurcis par des années de guerre, ils avaient toutes les raisons d’acclamer Napoléon. Il connaissait beaucoup d’entre eux, les appelait par leur nom. En 1813, avant l’anniversaire de Napoléon, « l’artillerie de la Garde prépara des feux d’artifice qu’elle déclencha sur l’Elbe juste sous les fenêtres de l’empereur ».

Contient trois bases d’artillerie (3 canons et 4 membres d’équipage) en résine Warlord, y compris la sprue de base en plastique et la feuille de drapeau.