Découvrez la Krieg Siege Platoon
Dans les ténèbres d’un futur où il n’existe que la guerre, un nom résonne à travers les champs de bataille du 41e millénaire : l’Astra Militarum.
Aussi appelée Garde Impériale, cette immense armée incarne la force brute, la discipline implacable et le courage désespéré de milliards d’êtres humains unis sous la bannière de l’Empereur-Dieu de l’Humanité.
Alors que les Xenos, les démons et les traîtres menacent sans cesse l’Imperium, c’est l’Astra Militarum qui tient la ligne. Pas grâce à la technologie la plus avancée, ni à la puissance du Warp, mais grâce à la volonté, la foi et le sacrifice d’innombrables soldats ordinaires.
Si l’Adeptus Astartes représente le poing de l’Empereur, alors l’Astra Militarum en est le marteau.
C’est une force si vaste qu’aucun registre ne peut réellement la quantifier. Chaque monde impérial, de la ruche tentaculaire à la colonie agraire la plus isolée, fournit ses propres régiments.
Les soldats de l’Astra Militarum sont des humains ordinaires, mais leur bravoure les place au même rang que les héros mythiques. Armés de fusils laser standard et de blindés robustes, ils affrontent des ennemis capables de pulvériser des planètes entières.
Leur force ne réside pas dans un seul homme, mais dans la multitude. Là où un seul Space Marine agit comme un symbole de perfection génétique, des milliers de gardes impériaux forment une marée implacable, avançant sous le feu ennemi sans jamais plier.
L’un des aspects les plus fascinants de l’Astra Militarum réside dans la diversité de ses régiments.
Chaque monde impérial forme ses troupes selon sa culture, son environnement et ses traditions martiales.
Ainsi, on trouve des styles de guerre radicalement différents, mais tous unis par la même foi en l’Empereur :
Les Cadiens, célèbres pour leur discipline exemplaire et leur tactique défensive.
Les Catachans, des guerriers sauvages venus de jungles mortelles, experts en guérilla et en survie.
Les Vostroyens, héritiers d’une tradition militaire ancestrale, vêtus d’uniformes baroques et armés de fusils finement ouvragés.
Les Krieg, symboles de l’obsession pour le sacrifice, avançant masqués dans les tranchées au nom de l’expiation.
Les Tallarns, cavaliers du désert et maîtres des frappes éclairs.
Les Mordians, rigides et impitoyables, qui incarnent la discipline à son paroxysme.
Chacun de ces régiments possède ses propres doctrines, son armement favori et ses héros légendaires. Cette diversité rend l’Astra Militarum non seulement visuellement variée sur la table, mais aussi stratégiquement profonde dans le jeu.
Parmi la masse de soldats anonymes émergent parfois des figures d’exception : les Commandants.
Ces officiers incarnent le courage et la foi. Ils inspirent leurs troupes et transforment une armée paniquée en un mur d’acier et de détermination.
Parmi eux, certains noms résonnent à travers la galaxie :
Lord Castellan Creed, le maître stratège de Cadia, dont la ruse a vaincu d’innombrables ennemis avant la chute du monde forteresse.
Commissaire Yarrick, le symbole immortel de la résistance humaine face aux Orks.
Colonel “Iron Hand” Straken, dont le corps mutilé par la guerre fut reconstruit pour continuer le combat.
Ces personnages représentent tout ce que l’Astra Militarum incarne : la résilience, la foi et la capacité de résister à l’impossible.
Sur le champ de bataille, l’Astra Militarum ne se distingue pas par la subtilité.
Elle gagne par la puissance de feu, la logistique, et le nombre écrasant.
Les chars Leman Russ constituent la colonne vertébrale de ses forces blindées.
Lents mais indestructibles, ces mastodontes crachent des obus capables de pulvériser des fortifications et de réduire en cendres des escouades entières.
Les Basilisks, quant à eux, frappent à distance avec une artillerie lourde que peu d’ennemis peuvent égaler.
Et lorsque la bataille exige la présence de géants, les titanesques Baneblades entrent en scène, véritables forteresses roulantes capables d’anéantir un bataillon entier à eux seuls.
À cela s’ajoutent les infanteries de choc, les escouades d’armes lourdes et les compagnies aériennes.
La Garde Impériale est une machine de guerre totale, où chaque rouage – du simple soldat à l’immense char de commandement – joue un rôle essentiel.
Aucune armée de l’Imperium ne serait complète sans la présence des commissaires.
Ces officiers politiques incarnent la volonté de l’Empereur et la discipline absolue.
Ils veillent à ce qu’aucun soldat ne cède à la panique, quitte à exécuter ceux qui reculent.
Leur présence inspire autant la peur que le respect.
Dans l’Astra Militarum, la survie n’est pas une option : c’est un devoir.
Et si la peur de l’ennemi ne suffit pas à maintenir la ligne, la peur du commissaire y parvient toujours.
Dans un univers où la technologie a pris des accents religieux, la foi en l’Empereur est le ciment de l’Astra Militarum.
Les soldats combattent non seulement pour défendre leurs mondes, mais pour protéger l’humanité toute entière.
Cette ferveur les pousse à accomplir l’impossible.
Face à des démons du Warp ou des monstres tyranides, ils prient et avancent.
Même lorsque leurs armes semblent inutiles, ils continuent à tirer, à charger, à mourir… et à tenir.
C’est cette détermination humaine, cette résistance obstinée, qui fait de l’Astra Militarum l’une des forces les plus emblématiques du 41e millénaire.
Dans Warhammer 40,000, l’Astra Militarum se distingue par son équilibre tactique et sa flexibilité stratégique.
C’est une armée qui excelle dans la défense, mais qui peut également frapper avec une violence extrême si elle est bien coordonnée.
Ses atouts majeurs sont :
Une puissance de feu démesurée, capable de balayer des hordes ennemies.
Des unités nombreuses et variées, permettant de saturer le champ de bataille.
Des personnages de soutien qui renforcent la cohésion et la bravoure des troupes.
Des blindés parmi les plus résistants du jeu.
Les joueurs expérimentés savent que la Garde ne gagne pas par la chance, mais par la planification.
Chaque tir d’artillerie, chaque ligne de défense, chaque ordre crié par un officier a son importance.
Visuellement, l’Astra Militarum évoque l’armée humaine poussée à son paroxysme.
Uniformes usés, blindés massifs, bottes couvertes de poussière : tout respire la guerre totale.
C’est une faction qui combine la brutalité industrielle du futur avec une iconographie inspirée des armées du XXe siècle.
Cette esthétique offre un terrain d’expression infini pour les peintres et modélistes.
Entre les camouflages urbains, les tons désertiques ou les uniformes sombres des régiments de Krieg, chaque collection est unique.
Le hobbyiste peut raconter une histoire à travers chaque figurine, chaque char, chaque bannière.
Choisir l’Astra Militarum, c’est choisir l’humanité face à l’impossible.
C’est préférer le courage à la mutation, la discipline à la démesure.
C’est une armée pour ceux qui aiment les grandes batailles, les lignes de tir infinies, et les armées massives où chaque escouade compte.
Mais c’est aussi une faction pour les rêveurs : ceux qui voient dans ces soldats anonymes des héros tragiques, des martyrs de la foi impériale.
À travers les âges, l’Astra Militarum reste le dernier rempart de l’humanité.
Les Space Marines sont rares, les Primarques sont des mythes, mais la Garde est éternelle.
Tant qu’il restera un soldat pour lever son fusil au nom de l’Empereur, l’Imperium ne tombera pas.
Et quand les ténèbres engloutiront la galaxie, c’est encore la Garde Impériale qui se tiendra debout, baïonnette au clair, criant d’une seule voix :
« Pour l’Empereur ! »
Il existe dans la galaxie des combattants qui ne connaissent ni la peur, ni la fatigue, ni même l’idée d’un avenir pacifique. Le Death Korps de Krieg appartient à cette catégorie rare, presque inhumaine, de soldats forgés dans les ténèbres et le renoncement. Dès leur naissance, ou presque, ils sont arrachés à l’innocence pour devenir des instruments de guerre. Pourtant, ce qu’ils incarnent dépasse la simple discipline : ils sont le symbole douloureux d’un peuple qui a choisi de racheter sa faute originelle en offrant sa vie, encore et encore, aux feux de la guerre.
Et dès lors, lorsqu’ils avancent à travers les nuages de poussière, leurs masques à gaz fendus par le temps et les explosions, ils semblent presque irréels. Comme si la mort elle-même les avait refusés et renvoyés au combat pour accomplir ce qu’aucun autre régiment ne pourrait endurer.
Cette boîte n’est pas qu’un simple ensemble de figurines. Elle est une porte d’entrée vers une armée qui respire le sacrifice et la force intérieure. Que vous débutiez une nouvelle force du Death Korps de Krieg ou que vous cherchiez, au contraire, à étoffer une collection existante, elle offre immédiatement une profondeur tactique rare.
Mais surtout, elle dégage une atmosphère unique. Le Seigneur Commissaire, inquiétant à souhait, mène l’ensemble avec cette autorité froide qui suffit à faire frémir même les vétérans les plus aguerris. Derrière lui, l’infanterie avance d’un pas sûr, prête à encaisser les tirs ennemis sans broncher. Enfin, les Sapeurs et l’Artillerie complètent cette force en apportant cette brutalité méthodique qui caractérise si bien les batailles menées par Krieg.
Dans cette boîte, vous trouverez 35 figurines en plastique, soigneusement réparties pour offrir un véritable noyau militaire :
– 7 membres de l’Escouade d’État-major
– 2 Équipes d’Artillerie prêtes à raser un quartier entier
– 5 Sapeurs de Krieg (et leur mine télécommandée, fidèle compagne de destruction)
– 20 fantassins du Death Korps de Krieg, le cœur battant du régiment
Immédiatement, on ressent l’équilibre : du commandement, du soutien, des spécialistes… et cette masse compacte de soldats pour tenir, coûte que coûte, les lignes les plus exposées.
Le Seigneur Commissaire est presque une figurine à part. Ses options d’armement — pistolet à plasma, fouet, gantelet énergétique — permettent de lui donner l’aura implacable qu’il mérite. À ses côtés, les Gardes Vétérans offrent une variété d’équipements qui racontent chacun une histoire : l’épée tronçonneuse maculée de boue, la matraque de tranchée sculptée par les combats, ou encore les grenades précieuses qu’ils serrent entre leurs doigts gantés.
Chaque détail renforce cette impression poignante d’une armée qui n’a plus rien à perdre.
Les Équipes d’Artillerie sont brutales dans leur efficacité. Mortiers lourds, canons de siège, lance-roquettes multiples… Chaque option semble taillée pour un champ de bataille où la survie dépend de la capacité à frapper fort et vite. On ressent presque le souffle du tir, la vibration de l’acier, la rigueur glaciale des servants qui rechargent sans un mot.
Les Sapeurs de Krieg, quant à eux, incarnent la détermination brute. Équipés de fusils de combat ou de pistolets-mitrailleurs, ils avancent en première ligne, prêts à mourir si cela permet à leurs camarades de survivre quelques instants de plus. Et lorsqu’ils s’emparent d’un lance-flammes ou d’une mine commandée, on sent cette tension particulière : celle des missions où personne ne revient entier.
Les fantassins du Death Korps sont peut-être les plus tragiques. Leur large palette d’options — fusils lasers longs, lance-flammes, fuseurs, équipements vox, médipacs — rappelle que chacun d’eux pourrait être un héros… s’ils n’étaient pas élevés pour ne jamais se considérer comme tels.
Chaque baïonnette, chaque outil de tranchée, chaque sacoche de ceinture renforce cette identité visuelle : celle d’hommes et de femmes qui ont renoncé à leur nom pour ne devenir qu’une force, une marée sans fin.
Les 803 décalcos inclus ne sont pas de simples symboles. Ils sont les marques d’un régiment qui vit à travers ses numéros, ses emblèmes, ses codes. Chaque rune de Krieg, chaque marqueur de champ de mine, chaque numéro d’escouade raconte un fragment de leur histoire collective.
Et d’une certaine manière, poser ces marquages sur vos figurines revient à graver leur existence dans la guerre éternelle du 41e millénaire.
Avec 486 éléments en plastique, des socles variés (130 mm, 40 mm, 32 mm, 25 mm) et la nécessité de les assembler patiemment, ce kit vous offre bien plus que du hobby : il vous offre une immersion totale. Chaque pièce assemblée, chaque figurine peinte, chaque détail ajouté vous plonge un peu plus dans cet univers où la loyauté vaut davantage que la vie.
Enfin, il faut noter que cette boîte est disponible uniquement dans la limite des stocks, ce qui renforce encore son caractère précieux.
| Etat | Neuf |
|---|---|
| Version | |
| Déclinaison | |
| Tranche d'âge | 12ans et + |
Découvrez la Krieg Siege Platoon
Dans les ténèbres d’un futur où il n’existe que la guerre, un nom résonne à travers les champs de bataille du 41e millénaire : l’Astra Militarum.
Aussi appelée Garde Impériale, cette immense armée incarne la force brute, la discipline implacable et le courage désespéré de milliards d’êtres humains unis sous la bannière de l’Empereur-Dieu de l’Humanité.
Alors que les Xenos, les démons et les traîtres menacent sans cesse l’Imperium, c’est l’Astra Militarum qui tient la ligne. Pas grâce à la technologie la plus avancée, ni à la puissance du Warp, mais grâce à la volonté, la foi et le sacrifice d’innombrables soldats ordinaires.
Si l’Adeptus Astartes représente le poing de l’Empereur, alors l’Astra Militarum en est le marteau.
C’est une force si vaste qu’aucun registre ne peut réellement la quantifier. Chaque monde impérial, de la ruche tentaculaire à la colonie agraire la plus isolée, fournit ses propres régiments.
Les soldats de l’Astra Militarum sont des humains ordinaires, mais leur bravoure les place au même rang que les héros mythiques. Armés de fusils laser standard et de blindés robustes, ils affrontent des ennemis capables de pulvériser des planètes entières.
Leur force ne réside pas dans un seul homme, mais dans la multitude. Là où un seul Space Marine agit comme un symbole de perfection génétique, des milliers de gardes impériaux forment une marée implacable, avançant sous le feu ennemi sans jamais plier.
L’un des aspects les plus fascinants de l’Astra Militarum réside dans la diversité de ses régiments.
Chaque monde impérial forme ses troupes selon sa culture, son environnement et ses traditions martiales.
Ainsi, on trouve des styles de guerre radicalement différents, mais tous unis par la même foi en l’Empereur :
Les Cadiens, célèbres pour leur discipline exemplaire et leur tactique défensive.
Les Catachans, des guerriers sauvages venus de jungles mortelles, experts en guérilla et en survie.
Les Vostroyens, héritiers d’une tradition militaire ancestrale, vêtus d’uniformes baroques et armés de fusils finement ouvragés.
Les Krieg, symboles de l’obsession pour le sacrifice, avançant masqués dans les tranchées au nom de l’expiation.
Les Tallarns, cavaliers du désert et maîtres des frappes éclairs.
Les Mordians, rigides et impitoyables, qui incarnent la discipline à son paroxysme.
Chacun de ces régiments possède ses propres doctrines, son armement favori et ses héros légendaires. Cette diversité rend l’Astra Militarum non seulement visuellement variée sur la table, mais aussi stratégiquement profonde dans le jeu.
Parmi la masse de soldats anonymes émergent parfois des figures d’exception : les Commandants.
Ces officiers incarnent le courage et la foi. Ils inspirent leurs troupes et transforment une armée paniquée en un mur d’acier et de détermination.
Parmi eux, certains noms résonnent à travers la galaxie :
Lord Castellan Creed, le maître stratège de Cadia, dont la ruse a vaincu d’innombrables ennemis avant la chute du monde forteresse.
Commissaire Yarrick, le symbole immortel de la résistance humaine face aux Orks.
Colonel “Iron Hand” Straken, dont le corps mutilé par la guerre fut reconstruit pour continuer le combat.
Ces personnages représentent tout ce que l’Astra Militarum incarne : la résilience, la foi et la capacité de résister à l’impossible.
Sur le champ de bataille, l’Astra Militarum ne se distingue pas par la subtilité.
Elle gagne par la puissance de feu, la logistique, et le nombre écrasant.
Les chars Leman Russ constituent la colonne vertébrale de ses forces blindées.
Lents mais indestructibles, ces mastodontes crachent des obus capables de pulvériser des fortifications et de réduire en cendres des escouades entières.
Les Basilisks, quant à eux, frappent à distance avec une artillerie lourde que peu d’ennemis peuvent égaler.
Et lorsque la bataille exige la présence de géants, les titanesques Baneblades entrent en scène, véritables forteresses roulantes capables d’anéantir un bataillon entier à eux seuls.
À cela s’ajoutent les infanteries de choc, les escouades d’armes lourdes et les compagnies aériennes.
La Garde Impériale est une machine de guerre totale, où chaque rouage – du simple soldat à l’immense char de commandement – joue un rôle essentiel.
Aucune armée de l’Imperium ne serait complète sans la présence des commissaires.
Ces officiers politiques incarnent la volonté de l’Empereur et la discipline absolue.
Ils veillent à ce qu’aucun soldat ne cède à la panique, quitte à exécuter ceux qui reculent.
Leur présence inspire autant la peur que le respect.
Dans l’Astra Militarum, la survie n’est pas une option : c’est un devoir.
Et si la peur de l’ennemi ne suffit pas à maintenir la ligne, la peur du commissaire y parvient toujours.
Dans un univers où la technologie a pris des accents religieux, la foi en l’Empereur est le ciment de l’Astra Militarum.
Les soldats combattent non seulement pour défendre leurs mondes, mais pour protéger l’humanité toute entière.
Cette ferveur les pousse à accomplir l’impossible.
Face à des démons du Warp ou des monstres tyranides, ils prient et avancent.
Même lorsque leurs armes semblent inutiles, ils continuent à tirer, à charger, à mourir… et à tenir.
C’est cette détermination humaine, cette résistance obstinée, qui fait de l’Astra Militarum l’une des forces les plus emblématiques du 41e millénaire.
Dans Warhammer 40,000, l’Astra Militarum se distingue par son équilibre tactique et sa flexibilité stratégique.
C’est une armée qui excelle dans la défense, mais qui peut également frapper avec une violence extrême si elle est bien coordonnée.
Ses atouts majeurs sont :
Une puissance de feu démesurée, capable de balayer des hordes ennemies.
Des unités nombreuses et variées, permettant de saturer le champ de bataille.
Des personnages de soutien qui renforcent la cohésion et la bravoure des troupes.
Des blindés parmi les plus résistants du jeu.
Les joueurs expérimentés savent que la Garde ne gagne pas par la chance, mais par la planification.
Chaque tir d’artillerie, chaque ligne de défense, chaque ordre crié par un officier a son importance.
Visuellement, l’Astra Militarum évoque l’armée humaine poussée à son paroxysme.
Uniformes usés, blindés massifs, bottes couvertes de poussière : tout respire la guerre totale.
C’est une faction qui combine la brutalité industrielle du futur avec une iconographie inspirée des armées du XXe siècle.
Cette esthétique offre un terrain d’expression infini pour les peintres et modélistes.
Entre les camouflages urbains, les tons désertiques ou les uniformes sombres des régiments de Krieg, chaque collection est unique.
Le hobbyiste peut raconter une histoire à travers chaque figurine, chaque char, chaque bannière.
Choisir l’Astra Militarum, c’est choisir l’humanité face à l’impossible.
C’est préférer le courage à la mutation, la discipline à la démesure.
C’est une armée pour ceux qui aiment les grandes batailles, les lignes de tir infinies, et les armées massives où chaque escouade compte.
Mais c’est aussi une faction pour les rêveurs : ceux qui voient dans ces soldats anonymes des héros tragiques, des martyrs de la foi impériale.
À travers les âges, l’Astra Militarum reste le dernier rempart de l’humanité.
Les Space Marines sont rares, les Primarques sont des mythes, mais la Garde est éternelle.
Tant qu’il restera un soldat pour lever son fusil au nom de l’Empereur, l’Imperium ne tombera pas.
Et quand les ténèbres engloutiront la galaxie, c’est encore la Garde Impériale qui se tiendra debout, baïonnette au clair, criant d’une seule voix :
« Pour l’Empereur ! »
Il existe dans la galaxie des combattants qui ne connaissent ni la peur, ni la fatigue, ni même l’idée d’un avenir pacifique. Le Death Korps de Krieg appartient à cette catégorie rare, presque inhumaine, de soldats forgés dans les ténèbres et le renoncement. Dès leur naissance, ou presque, ils sont arrachés à l’innocence pour devenir des instruments de guerre. Pourtant, ce qu’ils incarnent dépasse la simple discipline : ils sont le symbole douloureux d’un peuple qui a choisi de racheter sa faute originelle en offrant sa vie, encore et encore, aux feux de la guerre.
Et dès lors, lorsqu’ils avancent à travers les nuages de poussière, leurs masques à gaz fendus par le temps et les explosions, ils semblent presque irréels. Comme si la mort elle-même les avait refusés et renvoyés au combat pour accomplir ce qu’aucun autre régiment ne pourrait endurer.
Cette boîte n’est pas qu’un simple ensemble de figurines. Elle est une porte d’entrée vers une armée qui respire le sacrifice et la force intérieure. Que vous débutiez une nouvelle force du Death Korps de Krieg ou que vous cherchiez, au contraire, à étoffer une collection existante, elle offre immédiatement une profondeur tactique rare.
Mais surtout, elle dégage une atmosphère unique. Le Seigneur Commissaire, inquiétant à souhait, mène l’ensemble avec cette autorité froide qui suffit à faire frémir même les vétérans les plus aguerris. Derrière lui, l’infanterie avance d’un pas sûr, prête à encaisser les tirs ennemis sans broncher. Enfin, les Sapeurs et l’Artillerie complètent cette force en apportant cette brutalité méthodique qui caractérise si bien les batailles menées par Krieg.
Dans cette boîte, vous trouverez 35 figurines en plastique, soigneusement réparties pour offrir un véritable noyau militaire :
– 7 membres de l’Escouade d’État-major
– 2 Équipes d’Artillerie prêtes à raser un quartier entier
– 5 Sapeurs de Krieg (et leur mine télécommandée, fidèle compagne de destruction)
– 20 fantassins du Death Korps de Krieg, le cœur battant du régiment
Immédiatement, on ressent l’équilibre : du commandement, du soutien, des spécialistes… et cette masse compacte de soldats pour tenir, coûte que coûte, les lignes les plus exposées.
Le Seigneur Commissaire est presque une figurine à part. Ses options d’armement — pistolet à plasma, fouet, gantelet énergétique — permettent de lui donner l’aura implacable qu’il mérite. À ses côtés, les Gardes Vétérans offrent une variété d’équipements qui racontent chacun une histoire : l’épée tronçonneuse maculée de boue, la matraque de tranchée sculptée par les combats, ou encore les grenades précieuses qu’ils serrent entre leurs doigts gantés.
Chaque détail renforce cette impression poignante d’une armée qui n’a plus rien à perdre.
Les Équipes d’Artillerie sont brutales dans leur efficacité. Mortiers lourds, canons de siège, lance-roquettes multiples… Chaque option semble taillée pour un champ de bataille où la survie dépend de la capacité à frapper fort et vite. On ressent presque le souffle du tir, la vibration de l’acier, la rigueur glaciale des servants qui rechargent sans un mot.
Les Sapeurs de Krieg, quant à eux, incarnent la détermination brute. Équipés de fusils de combat ou de pistolets-mitrailleurs, ils avancent en première ligne, prêts à mourir si cela permet à leurs camarades de survivre quelques instants de plus. Et lorsqu’ils s’emparent d’un lance-flammes ou d’une mine commandée, on sent cette tension particulière : celle des missions où personne ne revient entier.
Les fantassins du Death Korps sont peut-être les plus tragiques. Leur large palette d’options — fusils lasers longs, lance-flammes, fuseurs, équipements vox, médipacs — rappelle que chacun d’eux pourrait être un héros… s’ils n’étaient pas élevés pour ne jamais se considérer comme tels.
Chaque baïonnette, chaque outil de tranchée, chaque sacoche de ceinture renforce cette identité visuelle : celle d’hommes et de femmes qui ont renoncé à leur nom pour ne devenir qu’une force, une marée sans fin.
Les 803 décalcos inclus ne sont pas de simples symboles. Ils sont les marques d’un régiment qui vit à travers ses numéros, ses emblèmes, ses codes. Chaque rune de Krieg, chaque marqueur de champ de mine, chaque numéro d’escouade raconte un fragment de leur histoire collective.
Et d’une certaine manière, poser ces marquages sur vos figurines revient à graver leur existence dans la guerre éternelle du 41e millénaire.
Avec 486 éléments en plastique, des socles variés (130 mm, 40 mm, 32 mm, 25 mm) et la nécessité de les assembler patiemment, ce kit vous offre bien plus que du hobby : il vous offre une immersion totale. Chaque pièce assemblée, chaque figurine peinte, chaque détail ajouté vous plonge un peu plus dans cet univers où la loyauté vaut davantage que la vie.
Enfin, il faut noter que cette boîte est disponible uniquement dans la limite des stocks, ce qui renforce encore son caractère précieux.
| Etat | Neuf |
|---|---|
| Version | |
| Déclinaison | |
| Tranche d'âge | 12ans et + |
Le prix initial était : 200,00€.180,00€Le prix actuel est : 180,00€. TTC
3 en stock
