Description
Napoléon créa la Garde impériale comme une armée dans l’armée. Accéder à ses rangs sacrés était le rêve de nombreux soldats français. Une meilleure solde, de la nourriture, des uniformes et une assurance qui les transportaient dans toute l’Europe – c’était un poste honorifique et ils vénéraient leur Empereur. Loin d’être des gardes du palais, ils étaient cependant des soldats d’élite, car leur long service actif en faisait des soldats de confiance sur lesquels on pouvait compter pour accomplir leur mission.
Cet ensemble plastique contient suffisamment de troupes pour déployer trois bataillons de la Garde (80 soldats chacun) accompagnés d’officiers à cheval. Les membres de la Vieille Garde sont reconnaissables à la plaque en laiton sur le devant de leur bonnet en peau d’ours et à l’écusson arrière qui le surmonte. Les bonnets en peau d’ours de la Garde Moyenne ne portaient ni plaque en laiton ni écusson arrière, ce qui permet de les recouvrir de fourrure. Nous avons ajouté quelques têtes supplémentaires ; ceux qui souhaitent différencier davantage leurs unités peuvent en remplacer certaines par le shako ou le bonnet pour évoquer la Garde Moyenne, moins bien équipée, bien que ce ne soit pas obligatoire !
Sont également incluses des unités de Marines de la Garde (30 soldats) et de Génie de la Garde (30 soldats). Celles-ci ajoutent une touche de couleur et de variété à l’armée française. Pour couvrir la Garde lors de l’attaque, Napoléon déploya « Ses belles filles », de gros canons de 12 livres, servis par d’excellents artilleurs et dont la portée était supérieure à celle de la plupart des canons alliés. Un ennemi redoutable, assurément…
« Vive l’empereur ! » Un cri s’éleva de milliers de Français fiers tandis que les « bleus » s’élançaient en colonnes serrées et disciplinées, le 18 juin 1815, devant la petite ville belge de Waterloo. Nombre de ces vétérans avaient servi pendant des années aux côtés de Napoléon et de ses armées redoutables. Ils avaient la ferme intention de repousser l’armée alliée de Wellington et de marcher sur Bruxelles dans la gloire. Les colonnes d’infanterie étaient protégées par des centaines de voltigeurs, des fantassins légers en ordre dispersé, tandis que le feu aérien de batteries à pied massives de canons de 6 livres martelait les lignes alliées. Qui peut leur barrer la route ?
Cet ensemble en plastique fournit suffisamment de modèles pour aligner une brigade complète de trois régiments de ligne ou d’infanterie légère français de 80 hommes chacun, 24 voltigeurs en tiraillement, une batterie d’artillerie à pied de 3 canons de 6 livres et un commandant de brigade monté.